Chaîne de liens stylisés reliés à un site web, symbolisant le netlinking SEO en 2025

Liens SEO : morts ou toujours utiles en 2025 ?

L’essentiel !

Thématique Netlinking, backlinks, stratégie off-site
Public cible Freelances, éditeurs de sites, consultants SEO
Bénéfice clé Savoir quand et comment utiliser l’achat de liens en 2025
Temps de lecture 9 minutes
Date de mise à jour Juillet 2025
SOMMAIRE

Les backlinks ont longtemps été l’arme fatale des référenceurs. Puis Google a serré la vis. Penguin est passé par là, la peur de la pénalité s’est installée, et l’industrie a pivoté vers le contenu « de qualité » et les signaux UX.

Mais voilà : malgré les prédictions sur leur mort annoncée, les liens sont toujours là.

Certes, leur poids a diminué. Google ne se laisse plus berner par le moindre lien posé dans un obscur PBN. Mais dans les faits ? Sur des requêtes concurrentielles, à contenu équivalent, le site qui a des liens gagne toujours.

Et avec l’arrivée des LLM (chatbots, IA génératives, moteurs hybrides…), un nouvel enjeu apparaît : figurer dans les classements, les tops, les listings — autant de formats souvent alimentés par des liens… que vous aurez rarement sans le demander (ou sans les acheter).

Alors, en 2025, acheter des liens, est-ce encore utile ? Si oui, dans quels cas, et comment éviter les pièges ? On fait le point dans cet article d’actualité SEO.

Google a (presque) tué le lien… mais il est toujours là

Tout le monde ou presque s’en souvient : en 2012, Google lançait sa mise à jour Penguin, conçue pour pénaliser les liens artificiels, les fermes à backlinks, les réseaux douteux, les ancres sur-optimisées. Puis en 2016, Penguin est passé en temps réel, capable de sanctionner ou de désactiver l’effet d’un lien dès son repérage.

Le message était clair : le lien ne devait plus être un levier de manipulation.

Résultat : beaucoup de sites ont vu leur stratégie SEO s’effondrer. Certains référenceurs ont fait machine arrière, d’autres ont investi uniquement dans le contenu, pariant sur l’intention de recherche et les signaux comportementaux.

Mais la réalité est plus nuancée. Car malgré tout, le backlink reste un facteur de classement.

Pas aussi déterminant qu’avant, non. Mais toujours différenciateur. Entre deux pages aux contenus comparables, celle qui bénéficie de quelques bons liens thématiques a toutes les chances de passer devant. C’est vrai dans Google, et c’est de plus en plus vrai dans les moteurs hybrides dopés à l’IA, qui s’appuient sur la notoriété perçue, les signaux croisés… et donc les liens.

Cas n°1 : site neuf, budget mini : oui, mais malin

Quand on démarre un site, chaque euro compte. Et chaque lien peut peser dans la balance.

Mais inutile d’investir 200 € dans un backlink pour une page qui ne ranke pas encore. À ce stade, le plus efficace est souvent de concentrer l’effort sur la page d’accueil. Pourquoi ? Parce que c’est elle qui capte naturellement le plus de signaux (navigation directe, liens de réseaux sociaux, mentions de marque…).

👉 Pour un site neuf, l’idée est donc de poser quelques liens d’autorité modeste, mais bien ciblés, vers la home, afin de commencer à établir un profil de lien propre et légitime.

Parmi les options accessibles :

  • Ninjalinking sur forums, annuaires de niche, commentaires pertinents ;
  • Spots gratuits ou à prix cassé, en particulier si vous rédigez le contenu vous-même ;
  • Petits blogs sectoriels, parfois ouverts à un article invité ou à un échange.

À ce stade, l’objectif n’est pas de “manipuler” Google, mais de donner un signal de présence. Montrez que votre site existe, qu’il est cité, et qu’il s’insère dans un écosystème thématique. Cela suffit souvent à faire apparaître vos premières pages dans les SERP, ou à faire grimper votre nom de domaine dans les métriques SEO.

Et pour éviter de perdre du temps (ou de l’argent) sur de mauvais choix, on vous prépare une checklist complète pour bien choisir un spot de netlinking — elle sera bientôt en ligne.

Et si vous ne savez pas où acheter vos liens : testez Linkavista

Dans cette logique de liens abordables, bien ciblés et relativement safe, Linkavista mérite clairement une mention.

👉 Cette plateforme française propose un large catalogue de backlinks, avec des prix qui commencent à 0 € (si vous fournissez le contenu) et montent progressivement selon la puissance du site.

On y trouve :

  • des blogs généralistes et thématisés,
  • des sites Google News (pour booster l’indexation),
  • des pages déjà positionnées dans Google,
  • et même des listings Discover, utiles pour travailler sa visibilité dans les moteurs IA.

L’un des avantages de Linkavista, c’est que les métriques sont souvent vérifiées via la Search Console. Cela évite les mauvaises surprises sur des spots gonflés artificiellement.

Autre bon point : les filtres par thématique sont très précis. Pour les acteurs du secteur culturel, on peut facilement cibler des sites classés “musique”, “spectacle” ou “art et culture”. Et ça, peu de plateformes le font aussi bien.

👉 J’ai testé Linkavista pendant plusieurs mois, et je vous partage mon retour détaillé ici :
Mon avis sur Linkavista : plateforme de netlinking à petit prix

Cas n°2 : site établi, contenu en place : viser les pages stratégiques

Une fois le socle posé — contenu de qualité, arborescence claire, maillage interne solide — il reste parfois des pages qui plafonnent. Vous avez tout optimisé, le texte est bon, les balises sont là, l’intention est respectée… mais ça ne passe pas.

👉 Dans ce cas, le deeplinking (des liens pointés directement vers des pages internes) peut faire la différence.

C’est particulièrement utile si vous avez des contenus bien positionnés en bas de page 1 ou en top page 2. Un seul bon lien contextuel, placé dans un article thématiquement proche, peut suffire à vous faire remonter.

Ce travail ne demande pas forcément un gros budget. Il s’agit surtout de :

  • cibler les bonnes pages (analyse Search Console + mots-clés à potentiel),
  • choisir des spots thématiquement pertinents (même modérément puissants),
  • soigner l’ancrage (marque, semi-optimisé, naturel).

👉 À ce niveau, acheter un lien à 50 € bien ciblé vaut mieux que trois à 15 € mal placés.

Linkavista est aussi pertinent dans ce cadre, puisqu’il permet de filtrer les spots par catégorie précise, par volume de trafic, et même de viser des pages déjà positionnées, ce qui amplifie l’impact du lien.

Des alternatives à l’achat pur (mais rarement gratuites)

Acheter des liens n’est pas la seule option. Il existe plusieurs stratégies alternatives pour obtenir des backlinks sans sortir la carte bleue. Mais soyons clairs : la plupart demandent du temps, du réseau, ou une vraie notoriété.

Parmi les plus utilisées :

  • Le ninjalinking : insérer manuellement des liens sur des forums, des profils publics, des commentaires de blogs ou des annuaires encore actifs. C’est gratuit, mais demande d’être stratégique pour ne pas spammer inutilement.
  • Les articles invités : proposer à d’autres sites de publier un contenu original en échange d’un lien. Cela nécessite un travail de prospection, une bonne plume, et parfois… un peu de négo.
  • Le démarchage manuel : contacter directement des éditeurs de sites ou des créateurs de contenu pour suggérer une collaboration, un échange, une mise à jour d’article. C’est efficace mais chronophage.

Enfin, si vous avez un contenu remarquable, bien référencé, et qui génère du trafic, vous pouvez espérer des liens naturels. Mais soyons honnêtes : sans événementiel, buzz ou autorité préalable, les liens spontanés se font rares.

👉 Pour une vue d’ensemble plus opérationnelle, consultez notre article dédié :
[Netlinking gratuit : 6 techniques qui marchent encore en 2025]
(à lier dès qu’il sera publié, via l’ancre exacte)

IA, LLM, Discover : les liens redeviennent stratégiques

Une surprise de 2025 : les liens redeviennent intéressants… pour une raison que peu avaient anticipée.

Avec l’arrivée massive des LLM (Large Language Models) dans les moteurs de recherche — via les assistants comme Google Search Generative Experience, Bing Copilot, Perplexity ou Brave AI — le SEO ne s’arrête plus aux 10 liens bleus classiques.

Les réponses générées s’appuient souvent sur :

  • des contenus bien structurés,
  • des sources crédibles,
  • mais surtout… des classements et listings déjà existants.

👉 En clair : si vous figurez dans un comparatif ou un top 10, vous avez plus de chances d’être repris dans la réponse d’un assistant IA. Et si vous n’y êtes pas… vous n’existez tout simplement pas pour ces modèles.

D’où l’intérêt croissant d’obtenir des liens dans ce type de formats. Deux solutions s’offrent à vous :

  • Contacter les auteurs de classements et leur proposer d’ajouter votre site (avec une vraie valeur ajoutée).
  • Ou, plus simplement, acheter une présence via un article sponsorisé ou un backlink bien placé.

Dans les deux cas, le netlinking retrouve un rôle de visibilité indirecte. Pas seulement pour booster le SEO traditionnel, mais pour exister dans les résultats IA qui s’imposent peu à peu.

Conclusion : les liens ne font plus tout… mais ils peuvent tout changer

Non, acheter des liens ne suffit plus à faire ranker un site en 2025.
Mais ne pas en avoir du tout, c’est souvent ce qui vous empêche de dépasser vos concurrents.

Les algorithmes ont évolué. Ils valorisent de plus en plus l’intention de recherche, le contenu utile, l’expérience utilisateur.
Mais le netlinking reste un levier d’accélération. Et dans les thématiques concurrentielles, il peut faire basculer la décision de Google… ou celle d’un moteur IA.

Faut-il encore acheter des liens ?
👉 Si vous débutez, que vous manquez de notoriété, ou que personne ne parle de vous spontanément : la réponse est oui, mais avec méthode.
👉 Et si vous êtes déjà bien positionné, mais que certaines pages stagnent : un bon lien stratégique peut débloquer la situation.

Reste à bien les choisir.
➡️ Notre checklist pour évaluer un bon spot de netlinking arrive très bientôt pour vous y aider.

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